Quels sont les défis à relever ?
En discutant avec les universités locales, on constate que le nombre de femmes inscrites dans des formations telles que le génie maritime est encore très faible. Je pense que cela est dû en partie à la perception et au manque de sensibilisation des étudiants qui décident de faire des études universitaires, car il y a clairement une demande de talents dans ce domaine. Les diplômés ont un taux de réussite élevé pour ce qui est de trouver des postes dans les domaines spécialisés et avec un potentiel de carrière important.
Comment encourager davantage de femmes à s’engager dans ce secteur ?
Nous devons encourager davantage de jeunes femmes à envisager le génie maritime, l’architecture navale et d’autres formations maritimes connexes comme des carrières potentielles. Pour ce faire, nous devons promouvoir notre secteur comme un secteur d’inclusion, d’opportunités et d’innovation. Cela doit se faire dans les écoles, avant l’université, avec l’aide de conseillers d’orientation professionnelle, de conférences et d’ateliers. Nous travaillons en étroite collaboration avec les écoles, les centres de formation professionnelle et les universités à cette fin, et nous organisons des visites dans nos installations afin d’attirer la prochaine génération d’hommes et de femmes talentueux dans ce secteur extraordinaire.